Étiquette : histoire de famille
-
Henriette change de nom

Les notes marginales sur les actes d’état civil sont de vraies mines d’informations pour les généalogistes. Elles sont parfois la preuve que certaines vies sont plus chaotiques que d’autres…. et ce n’est pas Henriette qui affirmera le contraire, avec 3 changements de nom, et pas moins de 7 notes marginales! Henriette nait le 29/07/1920, fille…
-
Le Grand Restaurant MIGNOT

Gatien MIGNOT n’a qu’un rêve, celui de cuisiner. Alors il fera tout ce qu’il peut pour ouvrir son restaurant.
-
Le contrat de Mariage de Henriette Letesse

Le 30 Octobre 1878, Henriette, accompagnée de ses parents rejoint Auguste Cavillon chez sa tante, afin de prévoir les conditions du mariage avec Me HENIQUE, notaire.
-
L’accident de Jeanne

Ce dernier, effaré de trouver la jeune fille de tout juste 16 ans sur sa route tente tant bien que mal de l’éviter, mais fini hélas par la percuter par l’arrière.
-
Guerlet Joseph

Est-ce la perspective d’un avenir meilleur ou bien la naissance de Malvina, la fille naturelle de Victoire qui pousse la famille à déménager ? Le fait est que la petite tribu s’installe à Albert (Somme)
-
Février Adèle

(…)Adèle est d’ailleurs logée et nourrie chez son employeur, et donne une partie de ses gains à sa mère et ses frères (…)
-
3 générations d’Aimable Dubois

Il n’est pas rare de trouver plusieurs ancêtres avec le même nom et le même prénom. Intéressons nous aux Aimable Dubois, 3 générations de sayeteurs dans la région amiénoise, mes ancêtres aux 7e 8e et 9e générations.
-
Le mystère Belettre

Notre histoire prend place en 1815, à Prouville, une petite commune de 750 habitants dans la Somme, perdue au milieu des champs, au sein de deux familles : les OGER et les BELETTRE.
-
Antoine, l’homonyme

Il faut remonter à 1827 et 7 générations pour trouver un homonyme un peu particulier : un Antoine, né jumeau, tout comme mon fils.
-
Une victime civile : Massia GIWERTZMANN

En France, cette reconnaissance existe depuis la loi du 24 juin 1919, et ouvre droit à une réparation, souvent financière, voire à l’adoption en tant que pupille de la nation. Cette reconnaissance est étendue en 1953 pour les victimes de déportation ou leurs descendants.
