Pourquoi un blog de généalogie? Parce que derrière des dates et des noms se cachent tellement d’histoires ! Certaines drôles, d’autres touchantes, parfois tragiques. Elles se croisent, se recroisent, se heurtent à la Grande Histoire. Traversent les guerres, et renaissent parfois à l’autre bout du pays… ou du monde !
Il n’est pas rare de trouver plusieurs ancêtres avec le même nom et le même prénom. Intéressons nous aux Aimable Dubois, 3 générations de sayeteurs dans la région amiénoise, mes ancêtres aux 7e 8e et 9e générations.
Nicolas Buisson voit le jour le 25 septembre 1763 dans une famille de laboureur Mosellane. Il a un frère et deux sœurs. Nicolas Buisson s’engage en décembre 1780 dans le Régiment de la Fère, en tant que canonnier. Il y restera huit ans, et embarquera en 1782 pour combattre dans la guerre d’indépendance américaine. Envoyé
Notre histoire prend place en 1815, à Prouville, une petite commune de 750 habitants dans la Somme, perdue au milieu des champs, au sein de deux familles : les OGER et les BELETTRE.
En France, cette reconnaissance existe depuis la loi du 24 juin 1919, et ouvre droit à une réparation, souvent financière, voire à l’adoption en tant que pupille de la nation. Cette reconnaissance est étendue en 1953 pour les victimes de déportation ou leurs descendants.
Le 12 Septembre 1914, il est appelé à servir. Ses affaires étaient déjà prêtes. Il intègre le 73 R.I le temps de faire ses classes et est affecté le 6 Janvier 1915 au 17e Bataillon de Chasseurs à Pieds, après à peine 4 mois de formation…
Me MALAISE placarde sur les façades de deux baraquements les affiches annonçant la prochaine mise aux enchères du mobilier d’Ottorino RANDI, ayant fait faillite…
Tout enfant dont le père (ou la mère ou le soutien de famille) est grièvement blessé ou décédé du fait de la guerre peut demander à être adopté par la Nation.