
Pourquoi un blog de généalogie? Parce que derrière des dates et des noms se cachent tellement d’histoires ! Certaines drôles, d’autres touchantes, parfois tragiques. Elles se croisent, se recroisent, se heurtent à la Grande Histoire. Traversent les guerres, et renaissent parfois à l’autre bout du pays… ou du monde !
Elles ont cependant toutes un point commun. Ce sont elles qui ont formé notre histoire familiale.
Alors, laissez moi vous en conter certaines, croisées au fil de mes recherches, qui m’ont touchées, interpellées.
Et n’oubliez pas que si vous souhaitez vous aussi connaître votre histoire familiale, une seule adresse : Arbo’Recense, les racines de la vie !
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Pour ce quatrième jour, intéressons nous à la rue la plus anglaise d’Amiens, non pas la rue de Londres, mais le square Darlington. D comme square Darlington Les relations entre la France et l’Angleterre n’ont pas toujours été au beau fixe. Le nord de la France et notamment marqué par les guerres de territoires que
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Orientaliste, Jean Jacques Antoine Caussin de Perceval baigne très vite dans un milieu savant, encouragé par son oncle maternel, garde des manuscrits orientaux de la bibliothèque du Roi. A 24 ans, il obtient une chaire de langue orientale au Collège Royal, puis de France, qu’il occupera pendant presque un demi-siècle.
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passage du baillage amiens challenge AZ
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Jules Verne, une célébrité locale Comment parler d’Amiens, sans parler de Jules Verne. Bien que tous connaissent ses romans et son visage, ses longues années en tant que conseiller municipal de la Ville d’Amiens est bien moins connu. Et pourtant, ce visionnaire et modernisateur a fait de nombreuses choses pour la ville. Jules Verne, l’homme
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En généalogie, il y a des destins qui marquent plus que d’autre, et c’est le cas de Rodolphe. Rodolphe est né à Florange (Moselle) en 1884, et subit de plein fouet les conséquences de la Guerre Franco-Prussienne de la décennie précédente. Alors que ses grands parents, et donc ses parents mineurs à l’époque, ont tous
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Au-delà de l’anachronisme flagrant, nous pouvons nous interroger sur les obligations de rédaction d’acte de baptême, mariage et sépulture. En effet, alors que l’état civil post-révolutionnaire oblige la rédaction des actes selon des formules précises et froides, tel un robot répétant encore et toujours les mêmes mots, le curé va parfois nous livrer des détails…



